à la différence que là, certain.e.s risquent leur vie.
c’est pour ça qu’on tape sur nos casseroles et qu’on applaudit pas.
( d’ailleurs on a projeté ça sur le mur d’en face hier soir : Mur 20h)
infos du dessin :
1- les masques sont comptés, ils n’ont pas reçu de respirateurs (Càd pas ne nouveaux lit en réa*) et on est en Ìle de France…
2- les soignant.e.s dépisté.e.s + continuent de taffer.
* mais on peut toujours relativiser si, entre temps, on apprend -sur Médiapart- que les stocks de anesthésiques seront probablement épuisés aujourd’hui ou demain.
Je comprends bien qu’une telle situation transforme les infirmières et les médecins en une sorte d’unité d’élite. Mais ils font leur travail, celui pour lequel ils ont été formés, avec ses particularités et ses contingences, comme tous les autres métiers. Si la vie pouvait se réduire au fonctionnement des organes, ça se saurait.
J’ai bien aimé ça : https://www.franceculture.fr/societe/faut-bien-savoir-quon-fait-notre-job-point-je-nattends-pas-que-le-monde-entier-me-decerne-une
à la différence que là, certain.e.s risquent leur vie.
c’est pour ça qu’on tape sur nos casseroles et qu’on applaudit pas.
( d’ailleurs on a projeté ça sur le mur d’en face hier soir : Mur 20h)
infos du dessin :
1- les masques sont comptés, ils n’ont pas reçu de respirateurs (Càd pas ne nouveaux lit en réa*) et on est en Ìle de France…
2- les soignant.e.s dépisté.e.s + continuent de taffer.
* mais on peut toujours relativiser si, entre temps, on apprend -sur Médiapart- que les stocks de anesthésiques seront probablement épuisés aujourd’hui ou demain.