Souleveur des problèmes

On a passé à l’heure d’été aujourd’hui en France. Il fait froid et le soleil ne nous éclaire plus comme il faisait jusqu’au hier. 

Un dimanche, qui a commencé avec quelques petits missions manuel suite à un bon petit déjeuner. J’ai poncé et huilé quelques planches dans la court. Le mode de bricolage qui sauve. 

Planche de droite huilée, celle de gauche pas encore huilée.

Le reste de la journée jusqu’à 15h était occupé par la lecture des infos sur le virus. Oui, je me suis sentie prête à me confronter à l’actualité à la fin de la 2eme semaine de la « crise sanitaire ». Un seul article que je lis jusqu’au bout sur l’Afrique où la propagation du virus est moins précipité (en ce moment) comparé à l’Europe. Mais, ils ont d’autres problèmes, qui les empêcherais de passer en mode de confinement totale: on doit sortir pour gagner sa vie. Rester à la maison voudrais dire pour la plupart mourir de la faim. Les hôpitaux en Afrique, au centre notamment, ne sont pas équipés du tout. J’ai lu « 50 respiratoires » ce qu’il y a à l’hôpital public d’une ville de 12 million (Kinshasa).

Dans une vidéo, un médecin turc parle de la grandeur des chiffres de covid positifs dans le pays, par une accélération de propagation presque comme en Italie. Mon beau frère envoi une video de la mer de leur maison secondaire parlant de l’ indisponibilité de rester chez eux avec une fille de 4 ans.

Je ne suis pas sortie du tout finalement. Le quartier de 1km de mon domicile ne me parle pas beaucoup ce dimanche gris et froid. Le travail de thèse m’occupe bien ainsi que l’immeuble d’en face.

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