je me souviens de ce vieux monsieur, au bord de sa fenêtre, dans la rue de mon lycée. un vieux monsieur dégueu. il passait son temps à la fenêtre. il regardait tout ce qu’il se passait dans la rue. déserte la plupart du temps.
aujourd’hui ce vieux dégueu c’est moi. et les lycéens sont les pompiers d’en face.
bientôt je serai capable de faire tourner une caserne.