Situation et rôle du cartographe
J’ai choisi ici de me focaliser sur le bruit, en le catégorisant de 3 façons : agréable (en vert), acceptable (en jaune), pénible (en rouge). J’ai également jugé utile d’apporter des détails plus précis concernant le bruit, puisque cela très assez vague de ne catégoriser le bruit que de trois manières. Je me suis donc mis à rajouter des oscillations qui matérialisent le niveau sonore tout au long du parcours, étant donné que j’avais pris des notes assez précises au cours du parcours (mes notes étaient référencées géographiquement par rapport au parcours, donc il m’a été assez facile de pouvoir les représenter de manière cartographique).
Nous avons déjà effectué plusieurs travaux sur ce site, mais je n’ai pas l’impression que cela a influencé ma production étant donné que je ne me suis appuyé que sur mes notes.
Processus cartographique
Tel que je l’ai décrit précédemment, je me suis efforcé de prendre des notes les plus précises possibles afin de pouvoir les transcrire dans le discours que je souhaite mettre en lumière. J’ai accompagné ces notes de quelques croquis afin de pouvoir les situer plus facilement dans l’espace. Etant donné que mes notes étaient situées dans l’espace, il m’a paru cohérent de représenter la totalité du parcours afin de pouvoir y faire apparaitre mes résultats. J’ai également essayé de garder les bonnes proportions concernant les différentes étapes du parcours.
Je n’ai pas eu de frustration particulière dans la réalisation de ma carte, puisqu’elle est facilement représentable et compréhensible.
Retour sur le protocole
Le fait d’observer l’espace de manière partielle et orientée via un filtre d’observation unique m’a permis de me focaliser sur une donnée à mettre en avant, et de manière assez précise puisque je n’avais qu’à m’intéresser à une variable.
Cartographie de groupe
La cartographie de groupe m’a permis de mieux prendre conscience de notre territoire d’étude, mais pas d’apprendre de nouvelles informations en tant que telles sur celui-ci. C’est peut être dû aux filtres d’observation que nous avons choisi, et qui ne sortaient pas suffisamment de nos zones de “confort”.
Par contre, cela m’a permis de me rendre compte que cela favorise des analyses bivariées auxquelles nous n’aurions pas forcément pensé à priori, et je trouve ici que c’est un outil très puissant dans ce cadre-là.