#speed_carto _Magdalena-Laëtitia Ndiki-Mayi

Pour cette cartographique rapide, j’ai voulu montrer le cheminement qui m’a amené dans ce séminaire. La carte est un récit qui met en lumière des évènements importants mais aussi liés les uns aux autres .

Le numéro 144 représente l’adresse de l’école dans laquelle j’ai reçu ma formation d’architecte, au cours de laquelle j’ai eu l’occasion de voyager et d’étudier à l’étranger, notamment en Inde. Je m’intéresse aux stepwells, m’interroge sur la perception de ces espaces à travers des dessin, des plans dans lesquelles j’essaie révéler les sensations vécues. C’est finalement un cours documentaire qui sera réalisé, le nom d’un des stepwell documenté apparait sur la carte.

Cette première partie du dessin est relié à une autre partie du dessin par une couleur; le bleu et une forme semblable à celle de vagues, pour rappeler l’élèment – eau-. A nouveau il y a quelques marches de représentées, symbole cette fois-ci des ghats de Varanasi. Ville dans laquelle, sans support de carte, j’ai réalisé avec une amie, le relevé de certaines rues tout en mettant en avant une activité et la place qu’elle prenait dans ces rues, une partie est représentée sur la carte. La représentation de ces rues/quartier a évoluer au cours de notre travail selon la direction qu’il prenait et la reflexion sur le mode de représentation était lié au discours de notre travail. Sa version finale nous a presque servie de story-board.

Dans la dernière partie du dessin, centrale mais sans lien apparents avec les autres parties du dessin, on voit une personne tracer un plan au sol et d’autres gens autour. Ce geste de tracé fut un outils de communication lors d’un projet mené au sein d’une ONG d’architecture. En effet, les codes d’échelle d’une carte ou à moindre échelle, d’un plan d’une maison sont en réalité assez abstrait surtout si ce n’est pas une habitude de travailler avec ces outils. C’est pourquoi nous avons réalisé les plans à l’échelle 1:1 à même le sol afin que les personnes du village dans lequel nous travaillions puissent “se balader” dans leur maison et ainsi mieux se représenter ce que nous présentions.

Je n’ai pas eu le temps de finir cette cartographie car j’ai commencé par relater de manière chronologique des évènements. Le temps a été la contrainte majeur; en si peu de temps choisir ce dont on veut parler, tenter de l’organiser puis le représenter.

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