Durant la première séance de l’atelier de cartographie sensible le 8 mars 2021, nous avons réalisé une speed carto (10′) portant à la fois sur nous-même et sur notre sujet de recherche. La limite de temps a été une forte contrainte dans l’agencement et la représentation graphique des données. En effet, le multiplicité des lieux dans lesquels j’évoluais, et leur éloignement géographique, a rendu la réalisation de cette tâche très complexe dans le temps imparti.
A gauche, l’ébauche d’une cartographie schématique représentant ma localisation en catalogne française, mes allers-retours à la fois sur Paris à la CIUP, au Musée National d’Histoire Naturelle et à la Bulac, et ceux en Thaïlande et en Birmanie dans l’archipel Mergui qui constituent mes terrains de recherche. A droite, la cartographie textuelle et graphique très maladroite de mon parcours à l’EHESS et de mon sujet de recherche sous forme d’interrelations de bulles. N’ayant pas eu le temps de réfléchir en amont aux symboles, je me suis lancée dans une conception du type ‘carte mentale’.