Voici, la carte que j’ai réalisé, supposément sans fond de carte, mais malheureusement, j’ai finis par m’inspirer de la carte sur google map malgré les consignes.
Pour réaliser cette carte, j’ai d’abord pris des notes sur une archive de carte sur un document papier.J’ai privilégié les informations qui m’ont le plus marqué. En plus particulier, j’ai marqué les descriptions sur l’activité du lieu et les dysfonctionnements que je pouvais entendre. Par exemple, des moments qui me semblaient dangereux. J’ai aussi à prendre en compte les directions pour essayer de comprendre le parcours, mais j’étais tout de même relativement perdu par rapport à l’espace qui était pratiqué.Bien évidemment, il y a certaines informations que je n’ai pas pu retenir et c’est pourquoi, j’ai voulu me concentrer sur la réalité géographique du lieu et ce que j’avais ressentis du podcast. Sur une longue ligne, j’ai ainsi commencé à marquer ce qui allait constituer ma future carte et la chronologie des événements, en me concentrant particulièrement sur les sons entendus et les commentaires.
Mon objectif était de mettre en avant les différentes problématiques rencontrées par les cyclistes et d’ainsi établir une échelle de danger qui puisse être réutilisable.
Si la première partie vient de mon imagination et de ma compréhension, quand j’ai compris qu’il s’agissait de Champs-sur-Marne, par frustration, mais aussi, car ça me paraissait plus logique, j’ai préféré me servir de la carte bien que cela ait été proscrit. Dans ma démarche où je voulais justement que ma carte puisse permettre d’identifier des aménagements et des situations dangereux, j’avais personnellement du mal à imaginer sans une réalité physique tangible, ma carte ne puisse réellement aider ou avoir une utilité. Pourtant, le fait d’avoir fait ça brise un peu la cohérence de méthodologie de ma carte.Il s’agit là d’un de mes biais. Le fait de m’inspirer de la carte réelle m’a aussi permis de commencer plus rapidement ma carte. J’ai construit ma carte à l’aide mon crayon de papier, ma règle et un code couleur auquel j’aurais du plus réfléchir. J’ai voulu mettre en avant le ressenti et les commentaires qui avaient notamment établi au mot prêt, pour être le plus proche de la réalité.J’ai fini par compléter ma légende à la fin, une fois mon tracé déjà réalisé.
Voici ma seconde carte réalisée.
De mon erreur de compréhension des consignes, j’ai donc du réaliser l’étape inverse. En dépit de ma connaissance de la carte. J’ai dû imaginer une carte qui ne retranscrive pas de façon purement géographique la réalité du lieu, tout en gardant le même message que ma dernière carte sensible. Je me suis donc inspiré de ma première carte réalisée et des ressentis que j’avais écrit auparavant pour réaliser cette dernière.
Assez étrangement, j’ai pris beaucoup plus de plaisir de réaliser cette carte, le fait d’oublier la réalité géographique m’a permis de me concentrer sur la compréhension de ma carte et à axer le côté hiérarchique et schématique de cette dernière à travers une droite linéaire horizontale, ce qui m’a permis de la réaliser beaucoup plus vite.Assez étrangement, j’ai pris beaucoup plus de plaisir de réaliser cette carte, le fait d’oublier la réalité géographique m’a permis de me concentrer sur la compréhension de ma carte et à axer le côté hiérarchique et schématique de cette dernière à travers une droite linéaire horizontale, ce qui m’a permis de la réaliser beaucoup plus vite.
Grâce à la connaissance des lieux, j’ai en profité pour schématiser les différents paysages/environnements croisés et de facto comprendre comment les problématiques rencontrées découlent de ces différents endroits et de leurs aménagements. À l’aide du dessin, j’ai aussi voulu mieux représenter les différents espaces rencontrés. J’ai repris la notion de parcours en catégorisant les différentes étapes rencontrées en fonction des mouvements et des aménagements.